*** KERGUELEN ***

Réponse… Enigme 158 – Le Contre-espion aux cafards…

Eh bien ils pistaient des suspects qui avaient été « marqués », à leur insu !

     L’histoire de ces suspects, soupçonnés d’espionnage durant la guerre froide et retrouvés très facilement a fasciné le « monde de l’ombre » durant des années. Cela agaçait beaucoup ce milieu invisible, car personne ne comprenait alors comment pouvait-on les pister et les retrouver au plus profond de leurs caches… Les agents pistaient ces personnes soupçonnées d ‘espionnage car elles avaient été marquées à la phéromone de cafard femelle (la Péripalone Bêta)… Cette hormone bien particulière est la plus puissante connue à ce jour. Un objet ou un être vivant (même minuscule) marqué avec cette hormone sera retrouvé à des kilomètres de distance par un cafard mâle en quête d’une femelle « en chaleur ». Cette découverte avait déclenché la fougue des services secrets pour un « marquage indélébile et indécelable» des suspects… La CIA en particulier a fait de nombreuses expérimentations dans la chasse aux espions russes… Tout a été essayé dans ce domaine …/…et l’on a « en bonnes places » commencé à marquer " bien discrètement" des gens à la Péripalone Bêta.

Les cafards mâles lancés à leurs trousses étaient capables de les retrouver à des kilomètres de distance une fois que des suspects avaient été « imprégnés de Péripalone Bêta ». Il suffisait de suivre le cafard mâle qui cherchait sa femelle comme un drogué cherche sa dose.

Ce marquage est le plus discret que l’homme n’a jamais découvert et inventé. Comparativement, les appareils de géo localisation, même petits, même miniaturisés au possible, sont toujours « électroniquement bruyants », donc décelables.

La phéromone de cafard femelle, elle : non car c’est un simple produit chimique, le plus banal qui soit.

…et les cafards mâles les menaient sans coup férir, à leur gibier !

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